Guide de l’Αnimateur_WP2- NGOs-FR
En voici les principales conclusions : Le cadre juridique en matière de volontariat dépend du pays partenaire. Dans certains d’entre eux, la loi définit clairement le volontariat. Dans les autres, il n’existe pas de cadre légal quant au volontariat. Les ONG s’accordent à dire que le volontariat est une aide pour les migrants et les réfugiés. Certaines qualifient toutefois le volontariat non rémunéré d’injuste. Elles préfèrent alors les stages appuyés par les universités. Il n’y a que peu d’ONG qui offrent des tâches professionnelles aux volontaires et les aident dans l’acquisition de compétences transférables sur le marché du travail. Le volontariat n’est pas rémunéré et ne peut être mis en place que par des associations sans but lucratif, des charités ou des services publics. L’Espagne est le seul pays où les entreprises à but lucratif peuvent faire appel à des volontaires. Dans la plupart des cas, les femmes RPT se portent volontaires pour aider les nouveaux arrivants grâce à l’interprétation et au partage d’informations à propos du système juridico-administratif. Les réserves éthiques des ONG au sujet des tâches non rémunérées limitent les chances des femmes RPT pour qui le volontariat est la seule possibilité de développer leurs compétences. Les sociétés civiles manquent d’information et de connaissances quant au volontariat « officiel » et à ses avantages. La totalité du rapport se trouve sur le site web du projet : http://www.smartvolunteering.eu/en/news-events/22-the-volunteering-competence- framework
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